BIPOLARITE ET CANNABIS
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BIPOLARITE ET CANNABIS
Un nouveau Blog traitant des problèmes de Cannabis et de Bipolarité
vous y trouverez pas mal de ressources intéressantes :
Trouble bipolaire et effet du cannabis
Cannabis en parler aux ados .Ce que les parents devraient savoir.Trouble bipolaire.Maniaco-dépressif.
http://bipolaire-cannabis.spaces.live.com/
QUELQUES EXTRAITS DU BLOG :
Y a-t-il un risque de dépendance ?
La toxicité et la réceptivité des produits psychotropes, alcool, médicaments ou cannabis, ne sont pas les mêmes d’un individu à l’autre. A dose égale, certains supporteront parfaitement les effets du haschich, quand d’autres feront une bouffée délirante dès la première tentative. Plus l’état psychique est fragile, plus la substance a un effet de "bascule".
On ne devient pas toxicomane en fumant occasionnellement (pas plus de deux fois par mois). L’usage "récréatif" et "festif" n’entraîne aucune accoutumance physiologique ou psychologique. En revanche, une consommation intensive crée une dépendance psychologique. L’adolescent est obligé de fumer au réveil pour démarrer la journée, pendant les intercours, le soir, seul dans sa chambre pour s’endormir. Sans joint, il n’arrive pas à surmonter les stress, la déprime, les conflits, la solitude. En raison du phénomène d’accoutumance, il doit fumer de plus en plus pour retrouver le même effet. Le sevrage devient très difficile, alors qu’il n’a aucune conscience d’être dépendant.
Quand en parler à ses enfants ?
Dès le CE2 ou le CM1, avant qu’ils ne soient confrontés directement au haschich. Connaître les dangers des différentes drogues, du tabac, de l’alcool, des violences sexuelles, du racket permet à l’enfant d’être mieux armé, de mieux résister à l’influence des copains, et de se préserver des excès.
Les effets positifs
Euphorie - relaxation - suppression du stress - surestimation de soi - bonne humeur - rêverie - sensations auditives et visuelles exacerbées - joie intérieure - facilité d'élocution - sympathique complicité avec les copains.
Les effets négatifs
A court terme : Somnolence - abattement - trouble de la mémoire immédiate - dépréciation de la réalité - manque de coordination des mouvements - tremblements - altération plus ou moins importante de certaines performances intellectuelles et psychomotrices - irritation de l'œil - bouche desséchée -augmentation du rythme cardiaque. A plus long terme : perturbation du tube digestif - bronchite chronique, asthme - :risque de cancer des poumons multiplié par 4 ou 5 - hallucinations - sentiment de persécution - excitation suivie de dépression - risque de psychose maniaco-dépressive - envie suicidaire - diminution très marquée des réflexes et de la concentration ainsi qu'une perte des notions des distances et de temps (accidents de la route).
Selon des études scientifiques récentes, l'usage régulier de cannabis pourrait entraîner une perturbation de la fertilité masculine. Pour se donner bonne conscience, certains consommateurs affirment que le cannabis est plus un médicament qu'un stupéfiant. En fait, il est utilisé dans des cas limités et biens précis : traitement du glaucome ; atténuation des effets secondaires de la chimiothérapie ; traitement des affections liées au Sida.
Symptômes d'un ado "addicted"
Combien de médecins généralistes sont-ils aptes à dialoguer avec des parents pour diagnostiquer si leur enfant est consommateur régulier de cannabis, en fonction des signes ou symptômes suivants :
Résultats scolaires en régression du fait surtout de la perte de la mémoire immédiate,
Pouffées de rire sans raison,
Somnolence et un certain abattement ce qui conduit à la paresse et à une répugnance à apprendre ses leçons,
Difficulté à se concentrer au cours des conversations,
Volubilité et euphorie inhabituelles,
Nervosité et forte irritabilité quand il reprend contact avec la réalité après dissipation totale du produit,
Oublis spontanés (arrivé à la cuisine, il ne se souvient plus qu'il est venu chercher le sel),
Retards au retour de l'école et absences du domicile beaucoup plus fréquentes, surtout en soirée et le week-end,
Yeux irrités et regard vitreux. Davantage sujet aux bronchites,
Changements fréquents d'humeur,
Besoins d'argent plus prononcés (il sollicite souvent toute la famille, notamment les grands-parents).
Bien sûr, ces symptômes sont plus ou moins prononcés en fonction des individus, mais lorsque plusieurs d'entre eux sont réunis, on se trouve en présence d'un fumeur de joint.
Consommation de cannabis et comorbidité :
Environ 22 % des 18-30 ans ont présenté au moins une fois au cours de leur
vie un trouble lié à l’utilisation de substances illicites et un peu moins d’un
tiers d’entre eux ont présenté une comorbidité avec des troubles dépressifs ou
anxieux s’étant manifesté avant l’âge 20 ans. De plus, trois sujets sur quatre
présentant une comorbidité psychiatrique rapporte que l’abus de substance a
démarré avant d’autres troubles psychiatriques. On estime que 50 % des
patients consultant en psychiatrie présentent une conduite addictive. Le
trouble des conduites et le trouble de la personnalité de type antisocial sont
depuis longtemps associés au diagnostic de troubles liés à l’utilisation de
substances illicites. Il est généralement admis que les deux tiers des patients
présentant un trouble de la personnalité recoivent également un diagnostic de
trouble lié à l’utilisation de substances psychoactives.
Un témoignage d'une maman :
http://bipolaire-cannabis.spaces.live.com/blog/cns!CD3AFA9CC2743872!562.entry
vous y trouverez pas mal de ressources intéressantes :
Trouble bipolaire et effet du cannabis
Cannabis en parler aux ados .Ce que les parents devraient savoir.Trouble bipolaire.Maniaco-dépressif.
http://bipolaire-cannabis.spaces.live.com/
QUELQUES EXTRAITS DU BLOG :
Y a-t-il un risque de dépendance ?
La toxicité et la réceptivité des produits psychotropes, alcool, médicaments ou cannabis, ne sont pas les mêmes d’un individu à l’autre. A dose égale, certains supporteront parfaitement les effets du haschich, quand d’autres feront une bouffée délirante dès la première tentative. Plus l’état psychique est fragile, plus la substance a un effet de "bascule".
On ne devient pas toxicomane en fumant occasionnellement (pas plus de deux fois par mois). L’usage "récréatif" et "festif" n’entraîne aucune accoutumance physiologique ou psychologique. En revanche, une consommation intensive crée une dépendance psychologique. L’adolescent est obligé de fumer au réveil pour démarrer la journée, pendant les intercours, le soir, seul dans sa chambre pour s’endormir. Sans joint, il n’arrive pas à surmonter les stress, la déprime, les conflits, la solitude. En raison du phénomène d’accoutumance, il doit fumer de plus en plus pour retrouver le même effet. Le sevrage devient très difficile, alors qu’il n’a aucune conscience d’être dépendant.
Quand en parler à ses enfants ?
Dès le CE2 ou le CM1, avant qu’ils ne soient confrontés directement au haschich. Connaître les dangers des différentes drogues, du tabac, de l’alcool, des violences sexuelles, du racket permet à l’enfant d’être mieux armé, de mieux résister à l’influence des copains, et de se préserver des excès.
Les effets positifs
Euphorie - relaxation - suppression du stress - surestimation de soi - bonne humeur - rêverie - sensations auditives et visuelles exacerbées - joie intérieure - facilité d'élocution - sympathique complicité avec les copains.
Les effets négatifs
A court terme : Somnolence - abattement - trouble de la mémoire immédiate - dépréciation de la réalité - manque de coordination des mouvements - tremblements - altération plus ou moins importante de certaines performances intellectuelles et psychomotrices - irritation de l'œil - bouche desséchée -augmentation du rythme cardiaque. A plus long terme : perturbation du tube digestif - bronchite chronique, asthme - :risque de cancer des poumons multiplié par 4 ou 5 - hallucinations - sentiment de persécution - excitation suivie de dépression - risque de psychose maniaco-dépressive - envie suicidaire - diminution très marquée des réflexes et de la concentration ainsi qu'une perte des notions des distances et de temps (accidents de la route).
Selon des études scientifiques récentes, l'usage régulier de cannabis pourrait entraîner une perturbation de la fertilité masculine. Pour se donner bonne conscience, certains consommateurs affirment que le cannabis est plus un médicament qu'un stupéfiant. En fait, il est utilisé dans des cas limités et biens précis : traitement du glaucome ; atténuation des effets secondaires de la chimiothérapie ; traitement des affections liées au Sida.
Symptômes d'un ado "addicted"
Combien de médecins généralistes sont-ils aptes à dialoguer avec des parents pour diagnostiquer si leur enfant est consommateur régulier de cannabis, en fonction des signes ou symptômes suivants :
Résultats scolaires en régression du fait surtout de la perte de la mémoire immédiate,
Pouffées de rire sans raison,
Somnolence et un certain abattement ce qui conduit à la paresse et à une répugnance à apprendre ses leçons,
Difficulté à se concentrer au cours des conversations,
Volubilité et euphorie inhabituelles,
Nervosité et forte irritabilité quand il reprend contact avec la réalité après dissipation totale du produit,
Oublis spontanés (arrivé à la cuisine, il ne se souvient plus qu'il est venu chercher le sel),
Retards au retour de l'école et absences du domicile beaucoup plus fréquentes, surtout en soirée et le week-end,
Yeux irrités et regard vitreux. Davantage sujet aux bronchites,
Changements fréquents d'humeur,
Besoins d'argent plus prononcés (il sollicite souvent toute la famille, notamment les grands-parents).
Bien sûr, ces symptômes sont plus ou moins prononcés en fonction des individus, mais lorsque plusieurs d'entre eux sont réunis, on se trouve en présence d'un fumeur de joint.
Consommation de cannabis et comorbidité :
Environ 22 % des 18-30 ans ont présenté au moins une fois au cours de leur
vie un trouble lié à l’utilisation de substances illicites et un peu moins d’un
tiers d’entre eux ont présenté une comorbidité avec des troubles dépressifs ou
anxieux s’étant manifesté avant l’âge 20 ans. De plus, trois sujets sur quatre
présentant une comorbidité psychiatrique rapporte que l’abus de substance a
démarré avant d’autres troubles psychiatriques. On estime que 50 % des
patients consultant en psychiatrie présentent une conduite addictive. Le
trouble des conduites et le trouble de la personnalité de type antisocial sont
depuis longtemps associés au diagnostic de troubles liés à l’utilisation de
substances illicites. Il est généralement admis que les deux tiers des patients
présentant un trouble de la personnalité recoivent également un diagnostic de
trouble lié à l’utilisation de substances psychoactives.
Un témoignage d'une maman :
http://bipolaire-cannabis.spaces.live.com/blog/cns!CD3AFA9CC2743872!562.entry
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