Le père de mon fils est bipolaire
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Le père de mon fils est bipolaire
Bonjour à tous,
J'ai 38 ans, et je suis maman d'un garçon de 8 ans. Son père a été diagnostiqué bipolaire 6 mois après notre séparation suite à une crise nécessitant une hospitalisation d'urgence.
Thibault avait 6 mois lors de notre séparation, les crises de violences allaient en s'amplifiant sans que je puisse rien y faire, mon ex-conjoint refusait de reconnaître qu'il avait besoin d'aide, tout étant selon lui de ma faute. Nous nous sommes donc séparés d'un commun accord, droit de garde à la mère et droit de visite et d'hébergement classique pour le père.
Très vite, le harcellement a commencé, jusqu'à ma plainte pour coups et blessures en désespoir de cause. Lors de l'hospitalisation du père, sa famille m'a contactée pour emmener Thibault voir son père, ce à quoi je me suis opposée, simplement par crainte de détériorer l'image du père aux yeux de mon fils.
Suite à ce refus, j'ai demandé à ce que le médecin traitant du père me certifie que son état ne présentait aucun danger pour l'enfant avant la reprise du droit de visite et d'hébergement classique, ce qui m'a été refusé. Cette aggravation ayant eu lieu durant les 6 mois suivants le jugement du tribunal d'instance, je n'ai pas eu d'autre choix que de porter l'affaire devant la cour d'appel de paris afin d'obtenir les "garanties" qui m'étaient alors refusées. Dans l'attente du jugement j'ai autorisé l'exercice du droit de visite en présence d'un autre membre de sa famille( sa soeur ou sa mère), je n'avait absolument pas l'intention, ni à l'époque ni aujourd'hui, de couper les liens entre mon fils et son père, c'était une simple question de sécurité.
Cette présence familiale obligatoire a été maintenue par la cour d'appel pendant les 2 ans de procédures, procédure longue du fait de ma demande d'examen médico-psychologique auquel il a fallu que je me soumette moi-même, ainsi qu'à quelques reprises l'enfant .
Lors du jugement j'ai redit ma volonté de maintenir les liens père-fils tout en respectant le besoin légitime de toute mère, il me semble, de savoir son enfant en sécurité. Après consultation par l'expert désigné par la cour de son psychiatre, le droit de visite et d'hébergement a donc été remis en place très progressivement pour atteindre une forme classique aux 4 ans de notre fils.
Je sais que mon ex-conjoint est sous médicaments, et en mi-temps thérapeutique, ce qui ne l'empêche ni de passer ses nuits sur l'ordinateur ( comme il le faisait dans le passé des jours et des nuits durant), ni de dormir des journées entières, ni d'être le sujet de colères difficilement compréhensibles pour les enfants. Je sais également que c'est sa nouvelle compagne qui prends soin des enfants( mon fils plus deux autres enfants d'une précédente union),je lui dois ma tranquillité d'esprit quand mon fils est chez son père.
Mon ex-conjoint, soutenu en cela par sa famille il me semble, a vécu mes craintes comme autant de tentatives de ma part pour le décrédibiliser dans son rôle de père, il se montre encore aujourd'hui incapable d'une simple conversation avec moi, étant sans arrêt sur la défensive. Je n'ai pour seule interlocutrice que sa conjointe. Nous échangeons des courriers, purement administratifs pour sa part, quand nous avons besoin de communiquer sur les dates de séjour de notre fils par exemple.
Ce préambule est un peu long mais utile je pense à la bonne compréhension de notre situation actuelle.
Thibault est un enfant éveillé et charmeur, qui n'a jamais eu aucun problème jusqu'à son entrée en cp. C'est là que les problèmes ont commencé. Des soupçons de dyslexie nous ont amené, à la demande de l'institutrice, à consulter une orthophoniste. Puis les comportements de Thibault s'aggravant, il refusait la moindre consigne, passait des heures à 4 pattes sous son bureau ou puni dans le couloir, l'institutrice n'en pouvait plus malgré notre entière coopération( punition à la maison automatique si mot de la maîtresse), et a donc saisi le RASED, qui nous a, à son tour, convoqué ( mon mari actuel et moi). Thibault faisait des dessins monochromes et toujours extrêmement noirs, dans lesquels il décrivait à l'intérieur des murailles qu'il dessinait environné de toutes sortes de dangers, ennemis, bêtes, dangers de toutes sortes...
C'est à cette période que Thibault a demandé à mon mari l'autorisation de l'appeler papa, ce que mon mari, franchement ému a bien entendu accepté. Le We suivant mon mari a réceptionne Thibault au retour de chez son père est s'est fait verbalement agresser par ce dernier, en présence du petit, au titre que les mots de papa, papinou, etc... lui étaient réservés. Thibault a donc re-basculé sur le prénom de mon mari, en fait c'était tantôt son prénom, tantôt papa. Nous en avons donc parlé ensemble( tous les 3) et lui avons demandé ce qu'il préférait. Il a affirmé préférer papa mais sans vouloir faire de peine à son père. Nous lui avons expliqué que les règles chez son père n'étaient pas forcément les mêmes qu'à la maison, que c'était normal, mais que nous étions également libres d'adopter nos propres règles à la maison, que de toute façon, il n'avait et n'aurait jamais qu'un père, mais qu'il avait la chance de bénéficier de l'amour de 2 papas ce qui n'est pas rien... Depuis il est resté sur "papa". Le rased , ainsi que la psy qui a suivi Thibault pendant le reste de son cp et tout le ce1, nous a confirmé que la situation était claire pour lui et que le modèle fourni par mon mari lui permettait de se raccrocher à une autorité stable et rassurante. Les symptômes de Thibault se sont espacés avec le temps pour disparaître .
Cette année( ce2) Thibault est un excellent élève mais recommence à éclater en sanglots à la moindre contrariété, que ce soit à l'école avec sa maîtresse, avec les autres élèves, ou avec nous à la maison.( Nous n'avons aucune idée de son comportement chez son père...)
Nous avons choisi, après avoir tenté de le consoler, de parler, de... je ne sais pas ce que nous n'avons pas essayé... de rompre la communication lors de ces crises en lui disant de revenir vers nous une fois calmé et capable de s'exprimer. Ca semble fonctionner. Les crises s'espacent mais demeurent pour lui difficiles à maîtriser et impossibles à contenir totalement.
Je suis perdue. J'ai très peur que le cycle que nous avons traversé il y a deux ans ne recommence, et je ne sais pas si j'ai raison d'avoir peur. Bien sûr je sais, pour avoir beaucoup lu sur la bipolarité, que la maladie est génétiquement transmissible, tout au moins un terrain sensible au développement de ce type de troubles. Je ne sais pas si mon inquiétude est fondée, si je m'inquiète trop mais la description de certains parents des symptômes de la cyclothymie chez leur enfant me fait furieusement penser à ce que j'observe chez mon fils.
Je pense par ailleurs que mettre des mots sur la maladie de son père aiderait mon fils, je sais trop bien qu'il se croit parfois fautif des colères de son père, ou coupable de son déficit d'attention, mais je sais aussi qu'en parler quand son père s'y refuse ne fera que renforcer la paranoïa de son père à mon égard et donc son agressivité vis à vis de nous tous. Nous repartirions dans le cycle infernal des procédures et courriers en tout genre ( j'en ai des tiroir plein), ce qui au final ne sera pas bon pour Thibault. Je voudrais être certaine que c'est LA chose à faire si c'est le cas.
Je cherche ici, sur les conseils de ptite'brune( que je remercie au passage) les témoignages de père ou mère confrontés à ce type de problématique, ou encore des avis de professionnels, je suis juste épuisée de me torturer à ce sujet, et je veux faire le mieux pour mon enfant, comme nous tous ici.
Merci de m'avoir lue si vous avez eu ce courage... quelle tartine!
J'ai 38 ans, et je suis maman d'un garçon de 8 ans. Son père a été diagnostiqué bipolaire 6 mois après notre séparation suite à une crise nécessitant une hospitalisation d'urgence.
Thibault avait 6 mois lors de notre séparation, les crises de violences allaient en s'amplifiant sans que je puisse rien y faire, mon ex-conjoint refusait de reconnaître qu'il avait besoin d'aide, tout étant selon lui de ma faute. Nous nous sommes donc séparés d'un commun accord, droit de garde à la mère et droit de visite et d'hébergement classique pour le père.
Très vite, le harcellement a commencé, jusqu'à ma plainte pour coups et blessures en désespoir de cause. Lors de l'hospitalisation du père, sa famille m'a contactée pour emmener Thibault voir son père, ce à quoi je me suis opposée, simplement par crainte de détériorer l'image du père aux yeux de mon fils.
Suite à ce refus, j'ai demandé à ce que le médecin traitant du père me certifie que son état ne présentait aucun danger pour l'enfant avant la reprise du droit de visite et d'hébergement classique, ce qui m'a été refusé. Cette aggravation ayant eu lieu durant les 6 mois suivants le jugement du tribunal d'instance, je n'ai pas eu d'autre choix que de porter l'affaire devant la cour d'appel de paris afin d'obtenir les "garanties" qui m'étaient alors refusées. Dans l'attente du jugement j'ai autorisé l'exercice du droit de visite en présence d'un autre membre de sa famille( sa soeur ou sa mère), je n'avait absolument pas l'intention, ni à l'époque ni aujourd'hui, de couper les liens entre mon fils et son père, c'était une simple question de sécurité.
Cette présence familiale obligatoire a été maintenue par la cour d'appel pendant les 2 ans de procédures, procédure longue du fait de ma demande d'examen médico-psychologique auquel il a fallu que je me soumette moi-même, ainsi qu'à quelques reprises l'enfant .
Lors du jugement j'ai redit ma volonté de maintenir les liens père-fils tout en respectant le besoin légitime de toute mère, il me semble, de savoir son enfant en sécurité. Après consultation par l'expert désigné par la cour de son psychiatre, le droit de visite et d'hébergement a donc été remis en place très progressivement pour atteindre une forme classique aux 4 ans de notre fils.
Je sais que mon ex-conjoint est sous médicaments, et en mi-temps thérapeutique, ce qui ne l'empêche ni de passer ses nuits sur l'ordinateur ( comme il le faisait dans le passé des jours et des nuits durant), ni de dormir des journées entières, ni d'être le sujet de colères difficilement compréhensibles pour les enfants. Je sais également que c'est sa nouvelle compagne qui prends soin des enfants( mon fils plus deux autres enfants d'une précédente union),je lui dois ma tranquillité d'esprit quand mon fils est chez son père.
Mon ex-conjoint, soutenu en cela par sa famille il me semble, a vécu mes craintes comme autant de tentatives de ma part pour le décrédibiliser dans son rôle de père, il se montre encore aujourd'hui incapable d'une simple conversation avec moi, étant sans arrêt sur la défensive. Je n'ai pour seule interlocutrice que sa conjointe. Nous échangeons des courriers, purement administratifs pour sa part, quand nous avons besoin de communiquer sur les dates de séjour de notre fils par exemple.
Ce préambule est un peu long mais utile je pense à la bonne compréhension de notre situation actuelle.
Thibault est un enfant éveillé et charmeur, qui n'a jamais eu aucun problème jusqu'à son entrée en cp. C'est là que les problèmes ont commencé. Des soupçons de dyslexie nous ont amené, à la demande de l'institutrice, à consulter une orthophoniste. Puis les comportements de Thibault s'aggravant, il refusait la moindre consigne, passait des heures à 4 pattes sous son bureau ou puni dans le couloir, l'institutrice n'en pouvait plus malgré notre entière coopération( punition à la maison automatique si mot de la maîtresse), et a donc saisi le RASED, qui nous a, à son tour, convoqué ( mon mari actuel et moi). Thibault faisait des dessins monochromes et toujours extrêmement noirs, dans lesquels il décrivait à l'intérieur des murailles qu'il dessinait environné de toutes sortes de dangers, ennemis, bêtes, dangers de toutes sortes...
C'est à cette période que Thibault a demandé à mon mari l'autorisation de l'appeler papa, ce que mon mari, franchement ému a bien entendu accepté. Le We suivant mon mari a réceptionne Thibault au retour de chez son père est s'est fait verbalement agresser par ce dernier, en présence du petit, au titre que les mots de papa, papinou, etc... lui étaient réservés. Thibault a donc re-basculé sur le prénom de mon mari, en fait c'était tantôt son prénom, tantôt papa. Nous en avons donc parlé ensemble( tous les 3) et lui avons demandé ce qu'il préférait. Il a affirmé préférer papa mais sans vouloir faire de peine à son père. Nous lui avons expliqué que les règles chez son père n'étaient pas forcément les mêmes qu'à la maison, que c'était normal, mais que nous étions également libres d'adopter nos propres règles à la maison, que de toute façon, il n'avait et n'aurait jamais qu'un père, mais qu'il avait la chance de bénéficier de l'amour de 2 papas ce qui n'est pas rien... Depuis il est resté sur "papa". Le rased , ainsi que la psy qui a suivi Thibault pendant le reste de son cp et tout le ce1, nous a confirmé que la situation était claire pour lui et que le modèle fourni par mon mari lui permettait de se raccrocher à une autorité stable et rassurante. Les symptômes de Thibault se sont espacés avec le temps pour disparaître .
Cette année( ce2) Thibault est un excellent élève mais recommence à éclater en sanglots à la moindre contrariété, que ce soit à l'école avec sa maîtresse, avec les autres élèves, ou avec nous à la maison.( Nous n'avons aucune idée de son comportement chez son père...)
Nous avons choisi, après avoir tenté de le consoler, de parler, de... je ne sais pas ce que nous n'avons pas essayé... de rompre la communication lors de ces crises en lui disant de revenir vers nous une fois calmé et capable de s'exprimer. Ca semble fonctionner. Les crises s'espacent mais demeurent pour lui difficiles à maîtriser et impossibles à contenir totalement.
Je suis perdue. J'ai très peur que le cycle que nous avons traversé il y a deux ans ne recommence, et je ne sais pas si j'ai raison d'avoir peur. Bien sûr je sais, pour avoir beaucoup lu sur la bipolarité, que la maladie est génétiquement transmissible, tout au moins un terrain sensible au développement de ce type de troubles. Je ne sais pas si mon inquiétude est fondée, si je m'inquiète trop mais la description de certains parents des symptômes de la cyclothymie chez leur enfant me fait furieusement penser à ce que j'observe chez mon fils.
Je pense par ailleurs que mettre des mots sur la maladie de son père aiderait mon fils, je sais trop bien qu'il se croit parfois fautif des colères de son père, ou coupable de son déficit d'attention, mais je sais aussi qu'en parler quand son père s'y refuse ne fera que renforcer la paranoïa de son père à mon égard et donc son agressivité vis à vis de nous tous. Nous repartirions dans le cycle infernal des procédures et courriers en tout genre ( j'en ai des tiroir plein), ce qui au final ne sera pas bon pour Thibault. Je voudrais être certaine que c'est LA chose à faire si c'est le cas.
Je cherche ici, sur les conseils de ptite'brune( que je remercie au passage) les témoignages de père ou mère confrontés à ce type de problématique, ou encore des avis de professionnels, je suis juste épuisée de me torturer à ce sujet, et je veux faire le mieux pour mon enfant, comme nous tous ici.
Merci de m'avoir lue si vous avez eu ce courage... quelle tartine!
VirguledeGuillemet- Roulettes
- Messages : 1
Date d'inscription : 12/11/2010
Re: Le père de mon fils est bipolaire
Bienvenue Virgule,
En effet quel parcours!
Je tiens à souligner le courage dont tu fais preuve pour maintenir de la stabilité autours de ton fils!!
Sers toi de toutes les rubriques pour poser tes questions,
tu as également les fiches du site qui donne des solutions.
Pour t'aider dans ta réflexion, je te propose d'aller dans la rubrique diagnostic et de répondre à cette question :
Qu'attend-tu du diagnostic pour ton fils?
je veux dire profondément au delà du lien père/fils.
Pour ce qui est d'en parler c'est à notre sens indispensable, mettre des mots sur les choses, les ressentis est une nécessité pour les enfants. C'est toujours très angoissant les humeurs des autres, que l'on soit cyclo/bipo ou pas.
bisatoi
Amélie.
En effet quel parcours!
Je tiens à souligner le courage dont tu fais preuve pour maintenir de la stabilité autours de ton fils!!
Sers toi de toutes les rubriques pour poser tes questions,
tu as également les fiches du site qui donne des solutions.
Pour t'aider dans ta réflexion, je te propose d'aller dans la rubrique diagnostic et de répondre à cette question :
Qu'attend-tu du diagnostic pour ton fils?
je veux dire profondément au delà du lien père/fils.
Pour ce qui est d'en parler c'est à notre sens indispensable, mettre des mots sur les choses, les ressentis est une nécessité pour les enfants. C'est toujours très angoissant les humeurs des autres, que l'on soit cyclo/bipo ou pas.
bisatoi
Amélie.
Re: Le père de mon fils est bipolaire
Bonjour,
ton témoignage est très fort.
oui, mes mots aident. Ils nous ont sauvés moi et ma fille. Je ne pouvais pas lui expliquer de vive voix alors je lui ai écrit un livre, un ebook plus précisemment. Elle m'a aussi aidé à le faire : elle a corrigé certaines phrases, critiqué les dessins et, grande joie pour moi, elle a enregistré en audio les paroles de d'un personnage malgré mes exigences et la difficulté intrinsèque de la tâche.
C'est l'histoire d'une petite fille qui raconte la bipolarité de sa maman, du combien sa maman est changeante et incompréhensible, du combien elle crie et du combien sa maman l'aime aussi.
Ensuite, la maman raconte la bipolarité de sa fille (pour les traits communs aux enfants cyclo) et enfin, toutes les deux racontent comment elles font pour vivre ensemble.
Ce livre, je le vends sur http://www.delphinedy.com/livres/taptapmaman/
Je le vends parce que c'est la vie mais je veux surtout proposer un texte pour les parents car ce fut tellement dificile pour moi de trouver une solution.
Bienvenue à toi.
sweety
ton témoignage est très fort.
oui, mes mots aident. Ils nous ont sauvés moi et ma fille. Je ne pouvais pas lui expliquer de vive voix alors je lui ai écrit un livre, un ebook plus précisemment. Elle m'a aussi aidé à le faire : elle a corrigé certaines phrases, critiqué les dessins et, grande joie pour moi, elle a enregistré en audio les paroles de d'un personnage malgré mes exigences et la difficulté intrinsèque de la tâche.
C'est l'histoire d'une petite fille qui raconte la bipolarité de sa maman, du combien sa maman est changeante et incompréhensible, du combien elle crie et du combien sa maman l'aime aussi.
Ensuite, la maman raconte la bipolarité de sa fille (pour les traits communs aux enfants cyclo) et enfin, toutes les deux racontent comment elles font pour vivre ensemble.
Ce livre, je le vends sur http://www.delphinedy.com/livres/taptapmaman/
Je le vends parce que c'est la vie mais je veux surtout proposer un texte pour les parents car ce fut tellement dificile pour moi de trouver une solution.
Bienvenue à toi.
sweety
sweetdy- Grand-bi
- Messages : 273
Date d'inscription : 02/11/2009
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Localisation : centre
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